...Il m'a fallu du temps avant de reprendre mes esprits après la séance...
Away-I-go
carnet de route d'une vie
Vendredi 3 juin 2011 à 21:16
...Il m'a fallu du temps avant de reprendre mes esprits après la séance...
Mercredi 1er juin 2011 à 15:44
C'est étrange comme parfois en changeant de point de vue, on peut aussi totalement changer de réaction.
Il suffit à certains moments de prendre du recul pour qu'une situation difficile ne paraisse pas si compliquée au final.
Ou encore prendre les choses comme elles viennent avec le sourire.
On rate certaines choses, mais grâce à cela on ouvre une porte à laquelle on n'aurait peut être jamais pensé.
C'est aussi ce qui fait la particularité de la vie. La part de surprise. Se laisser prendre au jeux en restant curieux et étonné de tout.
Parfois on se pose des tas de questions. On se prend la tête à ne plus savoir quoi en faire. Mais dans le fond si ce ne sont pas les bonnes questions, celles qui sont utiles pour avancer, on se gache simplement la vie. Et la vision se déforme, on perd parfois dans la bataille ce que l'on est ou ce que l'on veut... Puis le temps passe avec accrochés à nos pieds des poids qui ne servent à rien.
Mais quand la vision se brouille trop. Quand on passe nos journées dans le brouillard, le conseil ou la présence de quelqu'un peut appraître tel un rayon de soleil...
Folk
Samedi 28 mai 2011 à 20:05
Un pas devant l’autre. Et j’avance. Je suis une route invisible qui me mène je ne sais où. Les longues journées sont de nouveau là. La chaleur aussi. Le printemps s’est largement installé et je me laisse aller dans l’air du temps à ne rien faire. A respirer calmement en me disant que c’est la plus belle des choses : juste respirer. Juste vivre. Il n’en faut pas plus par moment pour se sentir libre de vivre. Libre de tout. Les contrariétés de la vie disparaissent et toutes les choses négatives n’ont alors plus aucune emprise.Un instant de tranquillité pour se dire que la vie est belle.
Folk
Lundi 25 avril 2011 à 22:38
Peu importe les résultats des prochains partiels. Même si je me plante. On apprend même dans ses erreurs. Elles nous permettent parfois d'ouvrir d'autre porte étrangement. Car l'erreur n'en est pas une quand elle apporte quelque chose de nouveau. Et dans trois semaines les partiels seront finis (ou presque). J'ai envie d'apprendre. Cette envie qui me démange. Qui développe ma curiosité à un tel point que j'en ai la bougeotte. Cette curiosité qui va me pousser à faire une double licence l'année prochaine. J'ai le sourire aux lèvres, c'est plus fort que moi. Mon parcours n'est pas un tracé en ligne droite, il n'arrête pas de tourner à droite à gauche, il va en tout sens. Sur quoi tout cela va déboucher? Je n'en sais rien mais peu importe. Je trouverais un jour peut être. Mais en attendant, je veux continuer à apprendre.
J'ai envie de travailler cet été dans cet endroit inconnu et essayer de trouver une place dans cet autre endroit le restant de l'année.
Et puis démanager encore une fois. Seule cette fois. Dans "mon" chez moi, à moi toute seule. ça, se sera pour dans trois mois. Mes valises veulent bouger. Je veux bouger. Pas pour me couper du monde. Au contraire, si je sais que j'ai mon endroit de tranquillité qui m'attend, je n'hésiterais plus à sortir voir ailleurs.
J'ai besoin d'avancer encore et encore. De me prouver que je suis beaucoup plus forte que je ne peux l'imaginer à cause de ce manque total de confiance en moi. Mais ça aussi, ça va changer.
Folk.
Dimanche 24 avril 2011 à 23:03
la vie...
- je décroche le téléphone et je l'entends pleurer le coeur déchiré parce qu'il ne ressent pas ce qu'elle ressent.
- je m'assoie dans la voiture, et j'apprends qu'il ne reste plus beaucoup de temps à vivre à cette boule de poil avec qui j'ai grandi
- je marche à côté d'elle, qui m'a faite, et l'entends me dire qu'il ne va pas bien. que la maladie empire pour cet inconnu qui est mon grand père, je ne saurais jamais pourquoi il nous a rejetté mes frères et moi alors que mes cousines et mon cousin il les a accepté.
- je repense alors à mes autres grand parents décédés que j'aurai voulu mieux connaitre. toujours posséder le soutien de mon grand-père et simplement connaitre ma grand mère.
- je pense aux insultes des enseignants d'université dès que je prends mes cours pour les révisions des partiels
- je vois au-delà des cours, je vois le plaisir d'apprendre la même chose mais d'une manière différente.
- je me rappelle que les études que je poursuie ne sont que curiosité et n'ont aucun but si ce n'est d'apprendre
- je me rends compte que je m'ennuie toujours aussi vite, j'ai besoin de connaitre, de découvrir, de ressentir
- j'écoute de la musique et on me dit que c'est ma drogue. je confirme. mais celle là n'est nuisible à personne. elle ne peux pas faire mourir un petit être d'overdose
- je me retrouve très souvent seule
- je fais des efforts pour aller vers les autres, les gens prennent puis jettent. mais ils n'ont pas le temps de faire ça avec moi, ils ne me comprennent pas et me laissent de côté ou me jugent sur une image totalement fausse et font de même... très étrange...
- sauf elle, cette amie, qui même quand elle pleure arrive à sourire et à reprendre sa route dans le brouillard
- j'envoie un texto. elle a une réponse alors qu'elle n'a rien demandé, j'en ai une autre différent de celui qu'elle a reçu, le mien n'est pas vrai
- j'envois un autre texto, j'ai une réponse mais jamais de visage.
- je suis malade, je passe des moments difficiles, et je pense que ma maladie n'est pas vitale, je souris
- j'ai trouvé un mois de travail dans un endroit magique j'espère
- j'ai accepté le fait que j'avais le droit de vivre
- je sais que je ne pourrais pas changer le fait que je ne supporte pas d'être toucher du jour au lendemain, et j'avoue que parfois je me dis que ça n'est pas grave. je ne supporte pas qu'on me touche et ne veux pas être touché. je sais que c'est étrange mais c'est comme ça. ça changera/change pour quelques personnes et se sera suffisant.
- j'essaie de voir des choses possibles dans le futur et d'aimer ça, de m'y accrocher.
- je crois que je m'accroche à la vie mais pas de la même manière que les autres
- je suis différente mais comme tout le monde et j'aime ça, parce que c'est moi. loin d'être parfaite mais moi.
Folk
- je décroche le téléphone et je l'entends pleurer le coeur déchiré parce qu'il ne ressent pas ce qu'elle ressent.
- je m'assoie dans la voiture, et j'apprends qu'il ne reste plus beaucoup de temps à vivre à cette boule de poil avec qui j'ai grandi
- je marche à côté d'elle, qui m'a faite, et l'entends me dire qu'il ne va pas bien. que la maladie empire pour cet inconnu qui est mon grand père, je ne saurais jamais pourquoi il nous a rejetté mes frères et moi alors que mes cousines et mon cousin il les a accepté.
- je repense alors à mes autres grand parents décédés que j'aurai voulu mieux connaitre. toujours posséder le soutien de mon grand-père et simplement connaitre ma grand mère.
- je pense aux insultes des enseignants d'université dès que je prends mes cours pour les révisions des partiels
- je vois au-delà des cours, je vois le plaisir d'apprendre la même chose mais d'une manière différente.
- je me rappelle que les études que je poursuie ne sont que curiosité et n'ont aucun but si ce n'est d'apprendre
- je me rends compte que je m'ennuie toujours aussi vite, j'ai besoin de connaitre, de découvrir, de ressentir
- j'écoute de la musique et on me dit que c'est ma drogue. je confirme. mais celle là n'est nuisible à personne. elle ne peux pas faire mourir un petit être d'overdose
- je me retrouve très souvent seule
- je fais des efforts pour aller vers les autres, les gens prennent puis jettent. mais ils n'ont pas le temps de faire ça avec moi, ils ne me comprennent pas et me laissent de côté ou me jugent sur une image totalement fausse et font de même... très étrange...
- sauf elle, cette amie, qui même quand elle pleure arrive à sourire et à reprendre sa route dans le brouillard
- j'envoie un texto. elle a une réponse alors qu'elle n'a rien demandé, j'en ai une autre différent de celui qu'elle a reçu, le mien n'est pas vrai
- j'envois un autre texto, j'ai une réponse mais jamais de visage.
- je suis malade, je passe des moments difficiles, et je pense que ma maladie n'est pas vitale, je souris
- j'ai trouvé un mois de travail dans un endroit magique j'espère
- j'ai accepté le fait que j'avais le droit de vivre
- je sais que je ne pourrais pas changer le fait que je ne supporte pas d'être toucher du jour au lendemain, et j'avoue que parfois je me dis que ça n'est pas grave. je ne supporte pas qu'on me touche et ne veux pas être touché. je sais que c'est étrange mais c'est comme ça. ça changera/change pour quelques personnes et se sera suffisant.
- j'essaie de voir des choses possibles dans le futur et d'aimer ça, de m'y accrocher.
- je crois que je m'accroche à la vie mais pas de la même manière que les autres
- je suis différente mais comme tout le monde et j'aime ça, parce que c'est moi. loin d'être parfaite mais moi.
Folk