Away-I-go

carnet de route d'une vie

Mercredi 29 septembre 2010 à 20:24

 parce que pour moi, c'est fort


Paris Je t'aime - Faubourg Saint-Denis

Folk

Mardi 28 septembre 2010 à 23:13

http://away-i-go.cowblog.fr/images/summer-copie-1.jpgÇa parle de courage ou de quelque chose de totalement différent dont je ne connais pas le nom.

Désolée, mais j’apprends… je ne peux donc pas tout savoir.

Et puis je ne m’excuse pas après tout.

 

J’apprends simplement.

 

Avoir du courage. Ou avoir la normalité de ne pas en avoir besoin systématiquement (pour tout).

 

Etre capable de puiser là où il faut en soi pour avancer. Faire des petits pas chaque jour. De tous petits pas puis des qui s’agrandissent au fur et à mesure.

Ce n’est pas simple. C’est même certain. Mais je veux essayer. D’abord de sortir le bout de mon nez à l’extérieur de chez moi quand je le souhaite. Etre libre d’aller et venir quand je veux, où je veux.

Ne pas attendre d’être au pied du mur et de ne plus avoir le choix pour sortir de chez moi. Parce que j’en crève d’envie parfois mais que je n’y arrive pas.

Puis souvent, avec l’habitude le cœur cesse de battre aussi fort (pour rien), lui aussi prend le pli d’être libre et de ne pas subir la pression des sentiments.

 

Commencer par quelque chose. Des petits pas qui vont me faciliter la vie et me rendre de plus en plus libre.

D’aller partout. Et même parfois d’y aller seule.

 

En fait, juste retirer cette angoisse qui me colle à la peau.

Et apprendre de lui aussi...

Folk

Dimanche 26 septembre 2010 à 18:39

http://away-i-go.cowblog.fr/images/interiordesign.jpg

Pourquoi je fais semblant (parfois) de ne pas comprendre ce qu'on me dit du premier coup?
peut être pour me cacher à moi-même que je n'ai aucune utilité.
(disons que tout ceci à encore plus de sens si vous avez vu le court métrage d'où est extraite l'image)


Folk

Vendredi 24 septembre 2010 à 22:22

Voyager.             Respirer.             M’évader.
 
Dans les forêts Bretonne, dans les quartiers pauvres de Grèce, dans les rues de Dublin, dans les champs au bord du lac en Ecosse, au milieu de la neige en Italie, sur les grandes places d’Espagne, au milieu de la cohue de Londres, où juste perdue sur les chemins de chez moi. Je marche. J’avance. Je me perds. J’ai toujours été douée pour me perdre. Je regarde tout autour de moi. Je prends des photos parfois, mais j’oublie souvent d’en faire. Quand je suis dans tous ces endroits je n’y pense pas, je vis juste pleinement. Et je n’ai pas envie de voir le paysage à travers un petit écran. Non, je le regarde dans son immensité. Je regarde sans aucune limite le monde devant moi, tel qu’il est.
 
Le regard
Mes yeux se posent d’une façon différente. D’une façon si humaine. Je n’écarte rien, ni le beau, ni le moche, ni l’inaperçu, ni l’inintelligible, je regarde tout, dans son ensemble mais aussi dans sa particularité.
 Je regarde les gens, les animaux, la vie...
 Je parcours les rues, les chemins, les routes,… la terre, le béton, l’herbe,… en bottes, en converses, pied nus,… J’ai besoin de sentir le sol sous mes pieds.
Je marche, je cours, je m’arrête, je redémarre… mais partout ce regard.
 Un regard que je pose sur le monde tel qu’il se présente à moi. Un regard si précieux. Un regard si fort, si puissant. Un regard qui fait que chaque instant est indescriptible, est unique et savoureux. Un regard qui fait que tout parait plus vrai, plus réel, plus vivant. Un regard qui vous pousse à vivre, à avancer encore plus loin, qui nous fait prendre encore plus de chemins différents…
Un regard qui pousse à vouloir tout connaître de ce monde, qui pousse à la chasse à l’immensité, et à ce sentiment de bonheur et de liberté…
 
Les souvenirs
Cet été. Dans cette toute petite île. Ce ciel si bleu sans un nuage en vu et ce soleil si chaud qui s’est agrippé à ma peau. Au détour de chaque ruelle une découverte, un paysage nouveau, un horizon se perdant dans le lointain, dans l’horizon de la mer. Je me souviens de ce calme, de ce bien-être qui pénétrait mon âme, de cette tranquillité d’esprit qui m’accompagnait doucement au fur et à mesure de mes pas. Et la marrée montante, je me suis faite surprendre. Eclaboussée par la réalité. Elle était froide, elle était vivifiante. Je me rappelle le vent s’emmêlant emmêlant mes cheveux bouclés. Tous les sons qui remontaient surprendre mes oreilles, j’entendais tout : les vagues, la nature, les oiseaux, les gens qui passaient… Et le gout qui étourdissait mes papilles, le gout de tout.
Je me suis laissé porter par les vagues jusqu’au dernier moment, j’ai laissé mes yeux parcourir l’étendue de ce monde. J’ai aimé comme jamais la liberté d’être en vie.
 
L’envie de découvrir plus
Et tous ces rêves qui montent à la tête, qui envahissent le désir de parcourir la terre.
Vadrouiller là où l’envie de me porte, là où le vent m’emporte, là où la vie règne, celle qui nous a fait naître, celle qui nous fait vivre…
 
 
Ça me manque tout ça…
Et je regarde par la fenêtre pour m’évader… 

http://away-i-go.cowblog.fr/images/Image5.jpg


Folk

Vendredi 24 septembre 2010 à 16:33


http://away-i-go.cowblog.fr/images/lms.jpg

Je veux faire plein de choses. Je voudrais faire plein de choses. Et arriver à en faire encore d’autres.

J’avais envie de laisser un message à la fin de chaque article que j’ai lu. Laisser des mots pour lui. (J’aimerai qu’il sourit tout le temps, peu importe la raison. Mais que le bonheur l’envahisse).

Je n’arrête pas de rêver à du possible. Je n’arrête pas de voir la vie de façon simple et j’aimerais que ça continue.

Je me sens bien. Angoissée par moment mais ça vient encore de la fatigue. J’essaie de dormir plus aussi, sans culpabiliser.

J’ai envie de sourire. D’aller visiter pleins d’endroits.

J’ai envie de découvrir tout.




Folk

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